Tuesday, March 1, 2016

Yangon (formerly Rangoon) in Myanmar (formerly Burma) - February 16-19, 2016



In English after each paragraph

Drapeau du Myanmar - Myanmar Flag


La Birmanie qui n'est plus la Birmanie, Rangoon qui n'est plus Rangoon. Un peu troublant! D'abord, on va confirmer ici qu'on va bien au Myanmar et que la ville principale autrefois Rangon s'appelle bien de nos jours Yangon. La capitale du Myanmar est Nay Pyi Taw.
Burma is no longer Burma, Rangoon is no longer Rangoon. A little bit disturbing! Rangoon is now called Yangon and the capital of this Kingdom is Nay Pyi Taw.

Yangon est une ville comme beaucoup de villes d'Asie, une ville très animée, polluée, bruyante à l'aspect colonial défraîchie. Ici,on a déjà un pied en Inde, du moins comme je l'imagine. Les buildings noirâtres et délabrés, les bus fatigués semblant surgir d'un autre siècle, les trottoirs aux allures inquiétantes laissant échapper parfois des odeurs nauséabondes, les habitants à la peau presque noirs portant des "jupes" (longyi), sans doute une réponse au climat ..... La température à mi- février est ici 3 degrés de plus qu'à Bangkok. Il fait au plus fort de la journée dans les 37/38 degrés, pourtant le mois le plus chaud est encore à venir. Avril détient la palme. Et il faut le dire aussi, c'est sale, mais vraiment sale partout (sauf hôtels et quartiers plus riches), dans les villes mais aussi a la campagne.  Les rues sont jonchées de détritus, sacs en plastique, bouteilles en plastique. Le manque d'éducation est vraisemblablement a blamer. Pourtant, les services de ramassage existent inadapté  et a coup sur, insuffisant. En tout cas, cela ne derange personne sauf les occidentaux. Dommage!  Dans un marché, en pleine journée, on a meme rencontre un rat qui avait l'air très presse. Il se voulait surement discret pour ne pas déranger mais il a eu la mauvaise idée de passer devant les pieds de ma petite femme. Je ne sais toujours pas à date des 2 qui a eu le plus peur! Peut-être le rat après tout puisque nous ne l'avons jamais revu (le rat, pas ma femme!)
Yangon is like many cities in Asia, very animated, polluted, noisy with an old colonial air. Here, it feels like India, at least the way I imagine it. The blackened and damaged buildings, the tired buses that seem to date from another century, the sidewalks  are scary and let sometimes , the inhabitants with an almost black skin wear "skirts" called "longyi" probably because of the climate... Then temperature mid February is about 3 degrees more than in Bangkok. At the top of the day, it's 37-38 degrees, and the hottest is still to come in April. And it also needs to be said, it's dirty, but really dirty and everywhere, in the cities but also in the countryside (except hôtels and richer neighborhoods). The streets are littered with garbage, with plastic bags, with plastic bottles, papers and more. The lack of education is most certainly to blame. We have seen some garbage trucks though, but there are small and probably too scarse. In all cases, this does not seem to bother anybody except westerners. In one of the market, in the middle of the day, we have even comme across a rat who seemed to be in a hurry. He was trying to be discret though but he had the bad idea to cross just in front of the feet of my better half. I still don't know which one of the too was the most frightened. Maybe the rat after all, as we never saw it again ( the rat, not my wife!) 





camion poubelle a Yangon - Garbage truck in Yangon

Men wearing Longyi - les hommes portent des ''longyi''




downtown Yangon - le centre ville de Yangon

The Sule Pagoda (being renovated) - La pagode Sule en rénovation






Un autre phénomène ne contribue pas tellement non plus a la propreté des rues. Beaucoup de Birmans chiquent et comme en Inde, cela leur donne les dents et les gencives rouges. Ce n’est pas vraiment évident de demander à quelqu’un pourquoi ses dents sont rouges. Alors, après une recherche sur Google, leur tabac à chiquer serait appelé paanmassala et gutka. Le paanmassala est une chique traditionnelle qui se compose d’épices, de tabac, de fruits confits, de chaux et de noix d’arec. Tous ces composants sont enveloppés dans une feuille de bétel maintenue par un clou de girofle. Mâché, le bétel libère une substance rouge qui colore les dents, mais aussi les murs et les rues sur lesquels les chiqueurs la recrachent. Pas très appétissant tout cela, d'autant plus que les birmans émettent des bruits de raclements de gorge ou de poumon a effrayer tous les chinois qui sont pourtant bien connus pour leur crachats ! et je ne vous parle meme pas des frayeurs en scooter que cela provoque encore une fois chez nous, quand tout un coup, nous sentons un peu d'humidité sur les bras... 
Another phenomenon does not contribute to the cleanliness of the streets. Many Burmese chew tobacco and like in India, this makes their teeth and gums red. As it is not very easy to ask someone why his teeth are red, we used Google! Their tobacco is called paanmassala and gutka. The Paanmassala is is a traditional  made of spices, tobacco, fruits, areca nuts. All these items are envelopped in a ''bétel'' leave. The betel releases a red substance which colours the teeth, but also the streets and walls were people spit it... Not very appetizing especially because Burmese also produce noises while clearing their gorge or lungs, which would scare any Chinese away (and this is an accomplishment as they are also famous for spitting!) In addition, when you ride a scooter, you always wonder if you have been hit by someone spitting or just by the water of someone wanting to clean its windshield!


the necessary kit for preparing a good ''chew'' ! le kit nécessaire pour une bonne chique!


Pour revenir à notre température et climat chaud et actuellement sec, il n'est pas étonnant que les locaux se lèvent de très bonne heure, dorment tard et font la sieste à priori plus d'une fois dans la journée. Les moines ou monks ne font pas exception et de tout âge drapés dans leur vêtement de couleur vermillon, munis de leur attirail ( une espèce de marmite ) parcourent  tous les matins dès 5.30 ou 6.00 les rues encore endormies pour chercher leur subsistance. 
To come back to the température and the very hot climate and currently dry, no wonder that the locals get up early, go to bed fairly late and nap apparently more than once a day. The monks are not exception to this.  At all ages, in their red clothes, with their bowl in their hand, they walk the streets to look for something to eat as early as 5:30 or 6am.


A novice going to ask for food - Un novice qui part chercher a manger

Nap time - heure de la sieste










Toujours étonnés de croiser quelques touristes, les birmans ont le sourire facile. Respectueux et courtois, ils s'aventurent quelquefois avec leurs quelques mots d'anglais pour les plus éduqués à aider de leur mieux celui ou celle en besoin. Leur douceur n'est pas une légende. Certains diront que le Myanmar est ce que la Thaïlande était il y a 50 ans. Et puis pour les indications, il est extrêmement rare de voir des panneaux écrits en 2 langues ou autre chose que la langue locale...pas toujours facile de savoir les directions à prendre. Qu'on se rassure, devant la spontanéité des birmans, on arrive à aller à la bonne destination.
Always surprised to see some tourists, the Burmese do smile easily. Courtois, respectful, the more educated will tentative say a few words in English to help the tourist in need. Their kindness is no légend. Some will even say that Thailand used to be like this 50 years ago. As for the directions, it is seldom that you will see anything other that written in Burmese. Not too easy to know where to go, but no worries, thanks to their helpfulness, you will always make it to your destination.

Malgré leurs conditions de vie difficiles et insalubres très souvent, les birmans sont très méritants,  ils sont toujours occupes a faire quelque chose, que ce soit éplucher des légumes, passer un coup de balai ce qui semble dérisoire, s'occuper des enfants, porter des charges immenses pour aller vendre leur production de légumes ou autres. On reste souvent muets d'admiration ou complètement ébahis par ce qu'ils essaient de faire avec le peu de moyens a leur disposition.
Despite their difficult condition of life and the unhealthiness, Burmese are amazing. They are always busy doing something, either clean the vegetables, sweep the floor which appears to be useless, carry huge loads on their souliers to go sell their vegetables or other products. We are often flabbergasted or completely amazed by what they are trying to do with so little means. 


Delivery of coal - livraison de charbon

marche a Yangon - a market in Yangon


Un trottoir a Yangon - a sidewalk in Yangon


Lecture du journal dans la rue - A man reading his paper in the street
Downtown Yangon

The local bus - le bus local


 On mange ou on peut - They eat where they can find room

and they cook too - et on cuisine dehors aussi!

Parmi les monuments incontournables à aller visiter à Yangon, il y a Shwedagon Paya. Un temple bouddhiste visible d'à  peu près n'importe quel endroit à Yangon. C'est aussi l'un des sites bouddhistes les plus sacrés au pays. Le temple, ici ou ailleurs, est avant tout un lieu de rassemblement où en dehors de l'obligation d'y marcher pieds nus (on enlève  même les chaussettes ) depuis la première marche qui mène au lieu sacré on peut y faire à peu près tout y compris, dormir, faire sa sieste, boire, manger, parler et y prier, se recueillir, méditer. Les animaux, chiens et chats, bénéficient eux de la sainteté des lieux. L'endroit est superbe et depuis notre chambre d'hôtel, regarder le jour se lever sur le temple est purement mystique. Comme tous ces lieux dit sacrés, le code vestimentaire reste rigoureux, pas de shorts au-dessus du genou, pas de nombril à l'air, pas de chaussettes, pas de débardeur sans manche...et c'est à peu près tout.
As for the "Must" visit in Yangon, there is the Shwedagon Paya. A buddhist temple which can be seen from almost everywhere in Yangon. It's also one of the most sacred temple in the country. The temple, here or everywhere else, is a place where people meet each other and except for having to walk bear foot from the very first step to the sacred temple (you need to take off your socks as well). It appears that you can do a lot of things like sleeping, taking a nap, drink, eat, speak and pray, méditate. Cats and dogs are welcome as well. This temple is superb and from our bedroom in the hôtel, to watch the sunrise over the temple is mystical. Like all these sacred sites, the clothing attire is strict, no shorts above the knee, no navel in site, no socks, no tank tops... and that's about it.

Vue de notre hôtel - view from our hôtel



 East entrance of the Pagoda at night - Entrée est de la pagode la nuit





Une nonne bouddhiste - a buddhist nun









Yangon comme beaucoup de villes se découvre à pied ou en moyen de transport local. Si vous aimez les temples, voici quelques idées, Ngar Htat Gyee, Chauk Htat Gyee avec son bouddha couche géant, Sule Paya sont à découvrir. Le fleuve appelé Yangon River est une animation à lui tout seul, le traffic maritime y est abondant et le spectacle parle de lui seul sans compter le coucher de soleil dont tous les guides parlent.
We discover Yangon by foot. If you like temples, here are a few ideas, Ngar Htat Guyee, Chauk Htat Gyee with its super size reclining buddha and Sule Paya. The Yangon River is an attraction as well as it is very busy. The guidebooks also mention at length the sunset.













On the Road Again 2... Mandalay

Ecrit par Alain et Francoise - Written by Alain and Francoise

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